Directeur : Olivier Le Noé
Directrice adj. site Nanterre : Sarah Gensburger
Directrice adj. site Saclay: Stéphanie Lacour
Secrétaire générale : Aleksandra Mikanovic
Contact direction : umr7220_direction@cnrs.fr
Production et traîtement de données
Responsable : Benoît Tudoux
N…. en attente de remplacement
Pôle Documentation et édition
Nathalie Barnault – Bibliothèque Durkheim
Géraldine Doité – Revue Droit & Société
Pilotage administratif et financier, contrats.
Responsable : Aleksandra Mikanovic
Site Nanterre : Magali Vautelin
Site Saclay : Audrey Montes
67 chercheur.e.s et enseignant.e.s chercheur.e.s titulaires dont :
– 22 chercheur.e.s CNRS ( 5 directeur.e.s de recherche émérites)
– 45 enseignant.e.s-chercheur.e.s dont 1 conservateurs HDR (7 professeurs émérites)
3 post-doctorant.e.s
73 doctorant.e.s
Ainsi que :
– 32 docteur.e.s de l’ISP
– et une cinquantaine de membres associé.e.s
Axe 1 – « Genre, race et classe : du local au global »
Axe 2 – « Production et circulation des savoirs, des normes et des techniques »
Axe 3 – « Violences, conflits, mobilisations » : contact_isp_axe3 [at] liste.parisnanterre.fr
Axe 4 – « Formations et transformations des Etats-Du jeu national à l’enjeu transnational »
L’Institut des sciences sociales du politique (ISP) est une unité mixte de recherche du CNRS (UMR n° 7220) implantée sur les campus de l’Université Paris Nanterre et de l’École normale supérieure Paris-Saclay (anciennement ENS Cachan).
Rattaché à l’Institut des sciences humaines et sociales du CNRS, l’ISP dépend des sections 40 (Politique, pouvoir, organisation), à titre principal, 36 (Sociologie et sciences du droit) et 33 (Mondes modernes et contemporains) du Comité national de la recherche scientifique.
L’ISP a été créé en tant qu’unité mixte de recherche en 2006, lors de la fusion de deux équipes (GAPP/ENS Cachan et LASP/Université Paris X), l’une inscrite dans les recherches sur l’action publique et la sociologie du droit, l’autre tournée vers l’analyse des mutations politiques, notamment dans l’espace postcommuniste de l’Europe de l’Est, et plus particulièrement des phénomènes de démocratisation. L’ISP, lors de cette première phase de son existence, s’était donné comme objectif d’articuler étroitement ces différentes approches de sociologie politique, pour contribuer à l’avancement d’une sociologie de la construction démocratique, résolument fondée sur l’enquête empirique et la démarche comparative. Cet empirisme revendiqué, attentif de surcroît à l’historicité des objets de recherche, a facilité l’intégration d’une première vague d’historiens et favorisé le développement de convergences entre la science politique, l’histoire et la sociologie, articulées en tant que sciences sociales du politique.
Les problématiques et les thématiques développées, leur pertinence eu égard aux transformations des sociétés contemporaines, ont rapidement fait de l’ISP un laboratoire attractif. L’unité a été recréée au 1er janvier 2009 et est devenue l’UMR 7220.
L’identité scientifique de l’ISP s’incarne dans la pluridisciplinarité, dans le souci réaffirmé de la « normalisation » de l’analyse des transformations politiques, des situations de fortes ruptures ou de la violence politique dans une attention particulière portée aux terrains, dans la conjugaison de la diachronie et de la synchronie et le maniement des jeux d’échelles (du local au global, en passant par le national et l’européen).
L’approche bottom-up, l’enquête empirique et le comparatisme y demeurent largement partagés.